Casos que marcan para siempre

«Silencio y tristeza, eso es lo que recuerdo de las vías del tren»


RIBEIRA / LA VOZ 

Javier Lorenzo tiene fama en su pueblo de ser una persona echada para adelante. Sobre todo en su trabajo... que le gusta y al que se dedica con una férrea vocación cada día. Pero lo vivido, por él y otros 13 compañeros del servicio de emergencias municipal de Noia el miércoles por la noche en las vías del tren de Santiago, tardará en olvidarlo. Ayer, en otra vez en Santiago, pero esta vez para acudir a una recepción con los príncipes de Asturias, las imágenes que le pasaban por la cabeza de aquella madrugada en la zona cero del descarrilamiento eran muy concretas: «Silencio y tristeza, eso es lo que recuerdo de las vías del tren. Al llegar ya vimos que aquello era solo el inicio, entonces eran pocos los muertos, pero ya veíamos que acabarían siendo muchos más», explicaba ayer mientras esperaba la llegada de los príncipes.

Su primer cometido fue inspeccionar la locomotora para comprobar si había personas heridas o muertas en el interior. Pero no encontró nada. A continuación ayudó al juez Taín en el levantamiento de cadáveres. «Eso fue mucho más difícil y cruel», explicaba ayer a la vez que reflexionaba sobre la imagen de los vagones montados unos encima de otros que se encontró al llegar a Angrois: «Eso sí que fue duro», confiesa.

 

JAVIER LORENZO SERVICIO DE EMERGENCIAS NOIÉS

ESPAGNE: DANS LE SILENCE "D'UNE ZONE DE GUERRE", APRÈS L'ACCIDENT

 

31 juillet 2013 | 6h07
Francisco Javier Lorenzo de Agrafojo gardera toujours en mémoire le silence "d'une zone de guerre". Le 24 juillet au soir, ce pompier est arrivé très vite sur les lieux de l'accident de train qui a fait 79 morts à Saint-Jacques de Compostelle, et a travaillé jusqu'au matin.Quand lui et ses deux collègues entendent les alertes sur leur fréquence radio d'urgence, ils quittent leur village et foncent, sans attendre les ordres, sur les lieux du drame à une quarantaine de kilomètres de là, jusqu'au hameau de Angrois où le train vient de dérailler dans un virage. "Nous sommes partis vers 21h40 et à 22h04 nous étions à Saint-Jacques. Il faisait encore jour", raconte Francisco Javier."Quand je suis arrivé et que j'ai vu la scène, j'ai compris que le choc s'était produit à grande vitesse. Cela ressemblait à une zone de guerre", témoigne ce pompier d'expérience, âgé de 48 ans, les cheveux grisonnants et la voix calme, originaire du village portuaire galicien de Noia."Il suffit d'un peu de connaissances en physique pour comprendre qu'à 190 km/h, si c'était, comme on le dit, la vitesse du train, le corps humain ne résiste pas à l'impact", ajoute-t-il.Puis il détaille cette "nuit sans fin" avec précision, comme s'il apprenait plus du drame chaque fois qu'il le raconte.D'abord, ils ont vérifié, pendant deux heures, chaque wagon les uns après les autres, "porte par porte", pour voir s'il restait des blessés à évacuer. Ensuite, lui et sept autres pompiers se sont occupés de l'évacuation des cadavres."C'est notre travail mais le plus dur, c'est l'ampleur du drame. On a commencé par 13, 14, 15 cadavres. Mais après, quand ça monte à 20, 30, 40, 57... Puff!. Cela te dépasse. Tu te dis: +C'est énorme+. Tu n'assimiles plus. Ce fut une nuit sans fin", se souvient-il.Mais surtout, il lui reste ce silence pesant, très inhabituel dans un lieu où des dizaines de secouristes travaillent. "Tout le monde travaillait en silence parce qu'ils étaient saisis par la douleur".A l'aube, après dix heures intenses, Francisco et ses collègues sont allés dormir, "peu et mal", avant de reprendre leur travail à 10 heures du soir.Le "héros de Noia"A Noia, les habitants commence déjà à surnommer Francisco Javier "le héros de Noia".Lorsqu'on le lui rappelle, il esquisse un sourire mais ne reconnaît que la "satisfaction" d'avoir, aux côtés de dizaines d'autres personnes, fait son devoir et sauvé de nombreuses vies.Il est devenu pompier à 24 ans, un travail "que tu fais par vocation ou que tu ne fais pas". Et s'il écarte d'un revers de main les reproches sur les services de secours, il critique toutefois le "désordre" créé par la réduction des effectifs en raison des coupes budgétaires. Il dit espérer que les autorités réviseront leurs choix."Avant, nous étions 15 personnes et désormais nous sommes quatre. Voyons si après ce qui s'est passé, cela change les choses". S'il reste prudent sur les causes de l'accident au moment où un hommage devait être rendu lundi aux victimes de la catastrophe, Francisco Javier attend un renforcement des mesures de sécurité."Je ne sais pas si le train dépend seulement de la main d'un homme mais si c'est le cas, s'il vous plait, changez ça ! Parce que, nous les êtres humains, nous ne sommes pas des machines parfaites".En attendant, Francisco Javier tente de reprendre une vie normale, comme sa femme et son fils de 25 ans, toujours sous le choc."Cette nuit là, j'ai rêvé et je pleurais", reconnaît ce professionnel dans un sourire, comme s'il en avait un peu honte. "Personne n'est préparé, ni les médecins, ni le personnel soignant, ni les pompiers. La tête ne suit pas".
AFP

Firefighter recalls Spain train crash 'war zone'

In this photo taken on Wednesday July 24 2013, Emergency personnel respond to the scene of a train derailment in Santiago de Compostela, Spain. A firefighter who was one of the first at the scene of last week's deadly train crash in Spain says he will never forget the silence he found at the site, which he said resembled a "war zone". -- FILE PHOTO: AP

PUBLISHED

JUL 30, 2013, 6:08 AM SGT

NOIA, Spain (AFP) - A firefighter who was one of the first at the scene of last week's deadly train crash in Spain says he will never forget the silence he found at the site, which he said resembled a "war zone".

Francisco Javier Lorenzo de Agrafojo, 48, said he and two other firefighters from Noia on Spain's north-western coast did not wait for orders before rushing to the scene of Wednesday's accident.

They hurried to Santiago de Compostela some 40km away as soon as they heard reports of the disaster on the radio.

"When I arrived and saw the whole scene, I sensed that crash happened with the train going very fast. It looked like a war zone," he said, standing in front of the Noia fire station.

The death toll rose to 79 on Sunday after a US woman died in hospital.

The driver was charged late on Sunday with 79 counts of reckless homicide and released on bail under court supervision.

He reportedly told railway officials after the accident that the train had taken a curve at 190kmh - more than double the 80 kph speed limit for that section of track.

"If you know anything about physics, you know that at 190kmh, if that was the speed of the train as has been said, the human body can't withstand the impact," De Agrafojo said.

Emergency services workers checked each carriage of the train to search for survivors, a task that lasted around two hours, he said.

After midnight De Agrafojo and seven other firefighters had the grim task of gathering the bodies of the dead.

"Our work is like that, but what made it hard was the magnitude," he said.

"We started with 13, 14, 15 bodies. But when they are 20, 30, 40, 57... it overwhelms you, you say 'My God, this is huge!' You can't assimilate it. It was a never-ending night." But what especially struck him was how quiet the scene was, despite the dozens of rescuers working at the site.

"Everybody worked in silence because they were living the pain," De Agrafojo said in a soft voice.

At dawn after nearly 10 hours of hard work, he and his companions returned to Noia at 7am and slept "a little and badly" before starting a new shift at 10pm.

Lorenzo de Agrafojo became a firefighter at the age of 24 after spending three years in the army.

The man hailed as "Noia's hero" in his home town smiles shyly and says only that he feels "satisfaction" at having done his duty.

He said he hoped the accident would lead authorities to rethink cuts to emergency services, especially in small towns like Noia - population 15,000 - under government efforts to reduce Spain's public deficit.

"Before we were 15 firefighters, now there are four of us. Let's see if because of (the accident) we can change this situation," he said.

For Lorenzo de Agrafojo, the hardest part now will be to get over the experience and resume his normal routine after the night at the crash site, which he said caused his wife and 25-year-old son "a lot of anxiety".

"Last night I dreamed and cried," he said. "Nobody is prepared for this - not doctors, not paramedics, not firefighters."

Javier, el héroe noiés que arriesgó su vida para salvar a Germán

Este miembro del Grumir se enfrentó solo al rescate de un vecino de un pozo


RIBEIRA / LA VOZ 

Se llama Javier Lorenzo Agrafojo. Es de Noia. Y también un héroe. Pero, como casi todas las personas que hacen cosas grandes, él le quita importancia a la gesta que protagonizó el jueves por la tarde. Es un episodio que tardará en olvidar y que se resume con una sola frase: Javier, miembro del Grupo Municipal de Intervención Rápida (Grumir), puso su vida en juego para salvar la de otro. Concretamente, la de Germán, un vecino suyo que se desmayó en un pozo.

Cuenta Javier que el jueves por la tarde, como muchas otras veces, estaba él solo de guardia en el Grumir -pese a sus numerosas intervenciones, el equipo está bajo mínimos de personal-. Recibió una llamada del 112 alertándole de que había un hombre atrapado en un pozo, en Orro. Salió para allí con lo básico: un equipo de aire comprimido -que, fundamentalmente, tiene una mascarilla- y dos cuerdas. Cuando llegó, en el lugar únicamente había familiares y vecinos, que estaban desesperados porque una persona ya había intentado rescatar a Germán, el hombre atrapado, y lo único que había conseguido había sido quedarse él sin aire y, eso sí, poner boca arriba a la víctima.

Dice Javier que no se lo pensó demasiado. Que miró hacia abajo y que entendió que tenía que ir a por Germán. Se puso el equipo de aire y empezó a bajar. Cuanto más lo hacía -Germán estaba a unos seis metros de profundidad, en un pozo de 1,20 metro de ancho-, más difíciles veía las cosas. «Miraba para abaixo e vía que a auga lle chegaba ao queixo xa, e non podía parar de pensar en que debía estar morto, porque non se movía». Al acercarse a él, la cosa se puso peor. Conoce a Germán, y notó que «estaba moi azul, demasiado morado, crin que estaba morto, iso dende logo. Flotaba na auga e todo».

Le dejó su equipo

Aún así, no se rindió. Todo al contrario, se quitó su máscara y se la puso a Germán. Sabe que el protocolo indica que eso no se debe hacer, pero quería agotar el último cartucho, intentar por todos los medios que su vecino no dejase su vida en aquel laberinto. Intentó respirar con apneas, aguantando y soltando aire. Mientras, buscaba la fórmula de agarrar con una cuerda a Germán, de sujetarlo de alguna manera.

Fueron instantes en los que se le pasaron por la cabeza muchas cosas. Lo recuerda con bastante nitidez: «Eu non quería morrer alí, tiña que subir como fose, e a ser posible tiñamos que subir os dous». Así que se puso manos a la obra. Le ató una cuerda a la cintura, lo agarró a él, y tiró hacia arriba.


Y lo logró. Antes de sacarlo, tuvo que volver a ponerse la mascarilla porque sintió que él también iba a desfallecer. Dice que cuando volvió a ver la luz del día, casi no se lo cree. Y sigue convencido de que todo fue cuestión de minutos, quizás incluso de segundos: «Penso que se está alí dous minutos máis morre, porque a auga seguía subindo, e el xa flotaba».

 

Estaban los médicos

Cuando salió, allí estaban los médicos, que tuvieron que atender a Germán, que no volvió en sí hasta estar ya en el helicóptero -luego fue ingresado en la UCI del Clínico, en estado grave-. Y que también tuvieron que ayudarle a él. No en vano, Javier tuvo que ir al centro de salud a ponerse oxígeno. Cree que no le pasó tanta factura el hecho de quedarse sin oxígeno como el momento de agotamiento y estrés que vivió. «Nunca me vira en algo así, a verdade é que levo vinte anos nisto e nunca me pasara algo así».

Ayer, Javier insistía en quitarle hierro a lo que hizo. Guarda algunos rasguños de su odisea. Pero parecen importarle poco. Lo que sí le preocupaba era si Germán se recuperará pronto. Por las informaciones que él tenía, continúa ingresado en la UCI del hospital Clínico de Santiago de Compostela.

«Víao morto e o único no que pensaba era en sacalo de alí, en tirar para arriba»

«Eu non quería morrer alí, tiña que subir como fose e, a ser posible, el comigo»

Javier Lorenzo: «O lume aínda o ves, pero o virus non sabes por onde che pode vir»

Actuó en la marea negra del Prestige y el accidente de Angrois, pero reconoce que esta crisis es mucho peor


RIBEIRA / LA VOZ 

 

Javier Lorenzo Agrafojo es todo un veterano en el Servicio Municipal de Emergencias de Noia, en el que lleva más de 25 años como trabajador y, con anterioridad, como voluntario de Protección Civil. La irrupción de la pandemia del coronavirus ha supuesto un cambio en la actividad de esta entidad pues en las últimas semanas uno de sus principales trabajos es luchar contra el virus, pero con las armas que tienen a su disposición, las fumigadoras.

Este veterano operario se reincorporó a su puesto hace unos meses tras pasar un largo período de baja. Reconoce que nunca había visto algo similar a lo que está padeciendo el país. «Durante os anos que levo no servizo de emerxencias vin moitas cousas, pero coma isto nada igual. A catástrofe do Prestige que inundou de chapapote toda a costa galega, ou a traxedia de Angrois foron situacións moi duras, pero isto é moito peor».

El servicio municipal de emergencias tiene entre sus funcionas apagar incendios. Javier Lorenzo reconoce que no es una tarea fácil y, en muchas ocasiones, pasó verdaderos aprietos. Sin embargo, «o lume aínda o ves e podes escapar del, pero o virus non sabes por onde che pode vir e onde o podes coller. Non está sendo nada doado pois non se ve e tes que ter moito máis coidado. Ao ser invisible, quen sabe onde está e iso é ao que máis medo lle teño», subraya.

Dispersión

Una de las prioridades del grupo de emergencias de Noia es combatir el virus y «o que estamos a facer é tratar de paliar na medida do posible a dispersión do bicho». En este sentido, «facemos desinfeccións naqueles puntos onde hai máis xente».

Todos los días salen a la calle para desinfectar el centro de salud, la plaza de abastos o los soportales con la finalidad de «evitar que nos contaminemos, por iso é importante tomar as medidas necesarias». La llegada del COVID-19 «alterounos a vida a todos», subraya.

500 litros

Uno de los trabajos que está llevando a cabo el grupo de emergencias noiés continuamente es la desinfección de espacios públicos. En este sentido, Javier Lorenzo comenta que están saliendo todos los días. «Usamos cada xornada sobre uns 500 litros de auga con lixivia. Facemos esta actividade nos espazos públicos e tamén en algunha zona onde houbo xente contaxiada, pero nós non entramos aos domicilios particulares».

Trabajar cerca de alguna vivienda donde hay personas afectadas por el coronavirus no supone ningún problema para este operario: «Non é que teñas medo, pero si que vas en tensión. Sabes que tes que ter moito coidado. O único medo que tes é o de poder contaxiarte e levalo para a casa. Iso é o que máis me preocupa, poder infectar aos meus familiares. O mesmo medo faiche estar en alerta permanente», subraya.

Lorenzo Agrafojo es jefe de grupo y tiene a su cargo a varias personas. Esta situación le obliga a «adoptar as precaucións necesarias pois tes que coidar dos teus compañeiros, porque si cae un, caemos todos».

 

Explica que siempre que sale a la calle en las últimas semanas para realizar su trabajo «vou moi concentrado e en alerta. Cando ves as rúas valeiras, notas que isto é unha cousa seria e, aínda por riba, creo que estamos pouco preparados para esta pandemia», subraya.

SUCESOS BARBANZA

Alertan del riesgo de la senda del Tambre en Noia donde fallecía una mujer este pasado sábado

La víctima cayó a una zona rocosa en el lecho del río desde una altura superior a los 15 metros.

Son varios los accidentes con senderistas atendidos.

Actualizado 16:15

Una mujer de 57 años fallecía en la tarde de este pasado sábado tras caer desde una altura de unos 18 metros cuando paseaba con su marido y sus dos perros por la senda que discurre por el último tramo del río Tambre, antes de su desembocadura en la ría de Noia (A Coruña).

Al parecer, un resbalón y la fatalidad fueron las causas por las que esta mujer se precipitó hasta el lecho rocoso del río, quedando boca abajo con la cabeza sumergida en una poza lo que, junto con los traumatismos sufridos, pudieron ser la causa de su muerte casi en el acto.

De hecho, los primeros efectivos de Protección Civil de Noia que llegaron a la zona ya comprobaron que las constantes vitales de la víctima eran "moi débiles", certificándose su fallecimiento poco despues, una vez lograban alcanzar ese punto personal de Emerxencias Médicas de Galicia.

Nos lo contaba en Herrera en Cope de las Rías Javier Lorenzo Agrafojo, capataz de guardia en el servicio de Protección Civil de Noia este sábado y buen conocedor de toda esta zona, que no duda en calificar de "moi perigosa", sobre todo en el tramo de nivel rojo en la parte más alta del sendero, a unos 3 km de la Central Eléctrica y donde las condiciones, "sobre todo de humidade nestas datas" hacen que un resbalón, bien por descuido o por no llevar el material de montaña o senderismo adecuado, pueda tener fatales consecuencias.

De hecho, nos contaba que ya se ha tenido que actuar en tres ocasiones anteriores por incidentes de estas características, aunque no tan graves como este último. Uno de elos, "unha muller de Santiago á que houbo que rescatar mais arriba do río por unha escorcedura de nocello cando ía en zapato de tacón".

Y es que el atractivo de este entorno natural del último tramo del río Tambre en Noia atrae a cada vez un mayor número de visitantes que, en muchas ocasiones de forma inconsciente, por desconocimiento o irresponsabilidad, se ponen en peligro al no ser conocedores de los peligros que entraña un entorno donde la naturaleza ya manda.

En un cañón surcado ahora por unas aguas "que baixan nun nivel moi inferior ao que se rexistraba hai uns dias porque, se non, en vez de baixar ás rochas a buscalo, teríamos que estar agora buscando o corpo da muller ao longo do río ou a sabér ónde remataría de ser arrastrado por unha corrente que é infernal nesa zona", asegura Javier Lorenzo quien insiste en pedir "sentidiño" en una zona donde no hay cobertura de telefonía móvil "salvo en catro puntos concretos" y donde incluso los seis efectivos de Protección Civil y Bomberos de Boiro que realizaron el rescate del cadáver tuvieron enormes dificultades para poder llevarlo hasta la cabaña de pescadoras que hay río abajo.

Lugar donde, horas después, la autoridad judicial certificaba el fallecimiento de esta mujer que ahora deberá ser investigado aunque, todo apunta a la combinación de varios elementos de fatalidad y mala suerte.